Dans les années 60, l’État central, soumis à forte pression par la société bretonne, s’est résolu à soutenir, par le recours à l’argent public, le développement économique breton, dans le cadre d’une vision centralisatrice, parisienne d’un développement territorial dont le volet maritime se réduisait souvent à la Marine nationale et aux industries liées à la Défense.
Ce modèle de développement maritime est en déclin avancé, comme le montre la perte de puissance en Bretagne des grands groupes nationaux (DCNS, Thalès,…).
Ceci dans un contexte de désengagement de l’Etat, de contraintes croissantes que la périphéricité de notre région fait peser sur l’économie bretonne, de stagnation économique et de niveau élevé du chômage en Basse-Bretagne,… Lire la suite